Plus que tout autre pays, l’Inde a hissé la joaillerie au rang d’un art, avec un raffinement que l’on retrouve dans des pièces et parures étincelantes composées d'émeraudes de Colombie, de saphirs du Cachemire, de rubis de Birmanie et de Ceylan et de diamants de Golconde, sans oublier le jade et les pièces émaillées, deux domaines dans lesquels la joaillerie indienne excella.
L’exposition entrainera les visiteurs de manière chronologique depuis l’essor de l’empire moghol, fondé en 1526 par Babur, descendant de Tamerlan, jusqu’aux pièces les plus contemporaines, en passant par les trésors des Maharajas, des princes indiens sous le raj britannique, de 1858 à 1947, qui commandèrent, au début des XIXe siècle, aux plus grands joaillers européens tels que Cartier, Mauboussin, ou Mellerio dits Meller.
Commencer la visitePlus que tout autre pays, l’Inde a hissé la joaillerie au rang d’un art, avec un raffinement que l’on retrouve dans des pièces et parures étincelantes composées d'émeraudes de Colombie, de saphirs du Cachemire, de rubis de Birmanie et de Ceylan et de diamants de Golconde, sans oublier le jade et les pièces émaillées, deux domaines dans lesquels la joaillerie indienne excella.
L’exposition entrainera les visiteurs de manière chronologique depuis l’essor de l’empire moghol, fondé en 1526 par Babur, descendant de Tamerlan, jusqu’aux pièces les plus contemporaines, en passant par les trésors des Maharajas, des princes indiens sous le raj britannique, de 1858 à 1947, qui commandèrent, au début des XIXe siècle, aux plus grands joaillers européens tels que Cartier, Mauboussin, ou Mellerio dits Meller.
Commencer la visite